Encore & encore, toujours & toujours, ca faisait au moins une dizaine de fois qu’on rejouait cette partie, cette scène de mon nouveau film, le tournage avait commencé depuis quelques semaines, chaque jour, je jouait, je passais même des fois des journées au studio avec juste une pause pour aller manger au restaurant du coin, tout en étant flashé par la paparazzis, mais il ne fallait pas le cacher, j’aimais ma vie de star, même si je n’avais pas toujours le temps pour étudier, bref, revenons au fait, j’étais là, sur le plateau de tournage, nous étions dans un champ, pleins de caméra braqué sur moi, je jouait, c’était une scène de combat, je me battais contre mon partenaire, enfin, bref, je faisais de mon mieux, mais comme c’était son premier film à l’autre, il prenait un peu de temps à assimiler les gestes & tout, moi je faisais ça presque parfaitement, mais à cause de lui, on était obligé de recommencer la scène encore & encore.

« COUPER !

Enfin il avait compris, la dernière fut la bonne, la scène était bouclé, elle était parfaite sois disant, moi, j’étais essoufflé, tout ça m’avait donné soif, je me dirigea vers ma bouteille d’eau fraiche qui m’attendait dans mon sac et en but quelques gorgées au goulot, il était 12, l’heure de ma pose, étant donné que j’étais en short & en t-shirt dans cette scène, je remis une chemise parce qu’il ne faisait pas chaud, bref, je lâcha l’équipe sans dire un « au revoir » ou un « a tout à l’heure » ma journée était finie, le film était presque bouclée, plus que tous les effets à faire mais pour ça, ils n’avaient pas besoin de moi, je bossais jusqu'à ce Week-end, et après, plus de plateaux de tournage. Fioù, j’avais la flemme de rentrer chez moi pour me préparer à manger, je pris mes lunettes de soleil & une casquette pour me cacher pour pas qu’on me reconnaisse, je faisais genre de feuilleter un magasine où j’étais en première couverture avec Sixtine, je soupirai mais je ne pus m’empêcher un sourire, c’est vrai que je l’aimais, ma Sixtine

Je n’avais pas envie de manger au restaurant tout seul ce jour là, je sais pas, généralement ca ne me gênait pas mais là, j’avais besoin d’être en compagnie de quelqu’un, mais j’avais personne sous la main. Je voyais des gens qui me regardaient bizarrement soupçonnant que j’étais LA star. Décidemment, même avec des lunettes & une casquette on me reconnaissait, j’accélérai le pas, je n’avais aucune envie de signer des autographes, j’étais pressé. Je voulais profiter de mon après-midi tranquillement. Tout compte fait, je rentrai chez moi & regarda mon planning, OH M*RDE ! J’avais encore tournage cet après-midi, Je me tapai le front avec la paume de ma main, j’avais complètement oublié que j’avais encore exceptionnellement tournage cet après midi, généralement, le jeudi après-midi, j’étais peinard et je profitais de mon après-midi pour aller en cours, passer du temps avec mes amis ou étudier ou même faire la sieste. En catastrophe, je pris deux tranches de pains & les remplis pour en faire un sandwich, j’avais perdu beaucoup de temps à me demander ce que j’allais faire, et si je me grouillais pas, j’allais être à la bourre. Je le mangeai en chemin en me pressant, en évitant les fans & les paparrazis, finalement, j’arrivai à l’heure & j’avais bien bouffé.

« Et … ACTION !

Et c’est reparti pour une après-midi complète de tournage de film, on refaisait les scènes où il y avait des problèmes. On refaisait des scènes en changeant un peu, ca devenait lassant, la solution : les vacances, après le tournage de ce film, je me ferais un petit voyage pour profiter d’un peu de vacance, loin des Paparazzis, me reposer, dans un pays chaud, où il y aura du soleil et où je ne serais pas trop connus. Je regardais la pendule à chaque fois que j’allais boire un coup, c’est comme si le temps était au ralenti, bref, enfin ma journée était terminée, il était 17h, j’étais épuisé, on était rentré au studio pour regarder un peu les scènes, donner nos points de vus & tout, cette vie des fois, bien que j’aimais ça, j’avais envie de tout plaquer pour avoir la paix une ou deux heures, pour me reposer, je respira le grand air quand je sortis, il faisait un peu frais mais ca faisait bien, mon front était en sueur, je passa une mains dessus et je m’appuis contre le mur en attendant un peu avant de quitter le studio, j’entendais des bruits de pas dans ma direction, quoi c’était ? Un instant je crus au pire, que le réalisateur vienne me chercher pour qu’on me dise que le tournage continuait encore un peu, mais je m’enlevais cette idée là de la tête, quelqu’un approchait ! qui ?

A l'intérieur de la petite boulangerie, j'attendais mon sandwich et ma canette de coca tout en fourrant les écouteurs dans mes oreilles pour écouter en boucle le dernier album de kaitlyn. La serveuse me tendis la nourriture et je lui donna les petites pièces pour payez. Les wayfarer sur le nez je sortit du bâtiment. Je passait prés d'un miroir, vérification: chemise blanche et grise à rayures impeccable ouverte sur un débardeur jaune pâle, jean slim et converses noire et blanches. Je sortit de mon petit sac gucci mes clés de voitures et y rentra. Je ferma soigneusement la porte derrière moi. Je pencha la tête en arrière et passa ma main dans les cheveux. Chantant Don't Forget, je sortit du sac une petite pince pour attacher mes cheveux en un léger chignon négliger. Je baissa la tête et remarqua un magazine par terre. Je l'attrapa. La première couverture représentait Alex' et moi. J'afficha un sourire, je l'aimais. Je reposa le magazine sur le siège passager et mis le contact.

Mon téléphone sonna. Je pris le petit motorola. Kaitlyn me prier de venir la voir. C'est-à-dire que j'avais prévus autre chose. Elle s'excusa de me déranger et en sortant un rire qui me fendit un énorme sourire elle me promit de ne plus me déranger même si j'insister au contraire. J'arrêter la voiture. J'été arriver aux lieux de travail d'Alex'. J'attrapais mon sac et sortit de la voiture.

PAPARAZZI 1 - Bonjour Sixtine, tu est très belle aujourd'hui!
SIXTINE - Merci.
PAPARAZZI 2 - Comment va-tu ?
SIXTINE - Très bien, merci. Dîtes les gars vous pouvez me laisser passer?C'est pas que je m'ennuie, hein!

Et tout sa avec le sourire, s'il vous plait. Il se décalaient. Une deuxième bande de papparazzis arrivèrent vers moi.

PAPARAZZI 3 - Qui viens tu voir, Sixtine?

Je soupirais et rentra dans le bâtiment. Alex' se trouvait dos à moi, droit devant. Un instant je me disais que j'était une pure malade d'être venus et je me retourna prête à repartir. Soudain, je me retourna et courus vers lui comme une enfant et m'été presque jeter sur lui. * voir photo parce que je m'exprime mal x) * Il sursauta, je rigola.

SIXTINE - J'ai pensé que tu avais besoin de compagnie, quoique j'arrive peut-être trop tard!

[post hyyyyyyyyyper court ET POURRIS! ]

Il se retourna, il parus soulager. J'été près de lui et je sentais presque son souffle chaud sur mon cou, sa respiration était rapide. Je plissa les yeux, hanlala quesque j'avais fait? Je regretta presque mon geste. Il ferma les yeux et soupira. Il finis par un sourire qui me réchauffa le coeur.

JAMES - Ne refait jamais ça ! J’ai cru que c’était une fane hystérique ! J’ai eu peur.
SIXTINE - Désolé, je ne pensais pas que tu allais avoir si peur! dis-je en rigolant.

Il se rapprocha pour me faire la bise. Ces traits était parfait, je plongea mes yeux dans les siens. S'il savait. Que je l'aimais. Je l'admirais presque quand j'entendis les pas des papparazzis nous traquant. C'été sûr qu'une photo de James aussi proche de moi aurait crée un buzz et permettra au photographe de gagner des millions. Je soupira. James attrapa mon bras et m'entraîner dans un coin isolé du plateau de tournage. Ils était pas possible ses gens toujours là à vous traquer au moindre de vos pas.

JAMES - Sont pénible ces Paparazzis u__u
SIXTINE - Oui...

Je baissa la tête et souris. Mon téléphone sonna: un sms. Kaitlyn. Elle plaisantais. Elle avait écrit : " Sixtine Brown la star de WOWP à été vus cette après-midi se rendant au lieu de tournage de James Williams. Jaine? Sixes? " Je rigola et fourra le téléphone dans mon sac et leva la tête vers James.

[ c'est court, hein! ]

JAMES - Comment c’est passé ta journée ?

Je souris, comment expliquer cette journée? C'était une journée de tout ce qui été le plus banal hormis les papparazzis qui surveiller les moindre de mes gestes. J'avais passé la matinée à me repasser en boucle les dvd de FRIENDS, en me bourrant de nutella et de thé glacé * charmant. * en compagnie de la superbe Kaitlyn. A force de se repasser la série ont avait finis par apprendre tout les épisodes et les répliques. J'avais finis par me décider, enfin, à bouger mon c*l du lit pour prendre une douche et m'habiller. Et étant donnée que Kaitlyn n'avait pas faim, que le congélateur était presque vide et que mon ventre criait de faim j'avais décider d'aller acheté mon déjeuner qui par la suite m'a fait atterrir... ici.

SIXTINE - Ennuyante. M'enfin elle était banale. Pas très palpitante. Une journée normal, ouais. Et toi?

Il rigola. Se sourire qui me fessait tellement du bien, celui qui me fessait perdre la tête celui qui me rendait complétement folle, quoi * vive l'amour *. Ouais, je l'aimais. Beaucoup même, et je me doutais que sa soit réciproque sinon il m'en ferait par bien que sa soit une des choses les plus dure à dire. Je mourrais d'envie de lui dire "je t'aime" de l'embrasser, d'être à ses côtés, posé ma tête sur son torse et entendre son coeur battre * oui, c'est trrrèèèès beau de rêver *.

JAMES - Qu’est qu’il y a de marrant ? x)

Je faillit tomber. M*rde! Euuumm... comment expliquer que ma meilleure amie me disait si il m'avait dit qu'il m'aimer parce qu'elle croyait dure comme fer que mon amour pour lui était réciproque? Je me mordit la lèvre et sourit tant bien que mal. Je finis par rire.

SIXTINE - C'est Kaitlyn. C'est rien, elle déconne, c'est tout.

Je souris * again *. J'hésitait à poursuivre, gênée. Ce que je fis tout de même.

SIXTINE - Apparemment tout le monde est courant que je suis venue te voir.

Je passa ma main dans mes cheveux gênée. Les larmes me montés aux yeux, je renifla discrètement. Je mis à parler vite.

SIXTINE - Ecoute, j'aurais pas dut venir. Je t'ai dérangée, et puis t'as sûrement mieux à faire et maintenant dés que tu va sortir d'ici tu va te trouvé encore plus traquée par les papparazzis, j'aurais pas dus. Je suis désolé.

J'ai faillit pleurer. Pourtant j'avais besoin d'être venir le voir, voir son sourire, son regard, il m'avait manquée. J'attrapai mon sac.

Il m’attrapa doucement par le bras,me ramena à lui, et me serra dans ses bras. C'est à se moment là que je sentis que j'était sûrement la fille la plus heureuse au monde, je me sentais tellement bien dans ses bras, près de lui, savoir qu'il était là tout près que je n'avais plus envie de partir, de me détacher de son étreinte, ni maintenant, ni tout à l'heure. Il déposa un baiser sur mon front, et chuchota ce qui me fit faire un frisson. J'avais ma tête sur son torse tout se comme j'avais pensé il y avait au moins cinq minutes, après tout les rêves se réalise, j'en avait la preuve. Son souffle chaud me caressait la joue. Je ferma les paupières c'était si bon.

JAMES - Je t’interdit de partir ! J’ai trop besoin de compagnie & la tienne m’est indispensable !

Non, Sixtine. Ne te fait pas d'idée. Il n'y a aucun sous-entendu, compris? Aucun! Il m'embrassa une dernière fois sur le front. Il me considérait comme une bonne amie, c'est tout, bien que l'envie me prenait d'évoluer notre relation. J'ouvirs les yeux et leva la tête vers lui et plongea mes yeux dans les siens. Il était tellement beau, tellement gentil, tellement ... parfait. Je lui souris.

SIXTINE - Je ne partirais pas. J'ai... dis-je en chuchotant.

Continuer ma phrase? Lui dire? Ne pas lui dire? Tout se mélangea dans ma tête. Pourtant j'avais besoin de lui dire, de lui avouer. C'était assez gênant, autant pour moi et sûrement pour lui si il aimer quelqu'un d'autre, pensée à cette idée me donna la nausée. Non, pas mes sentiments car je savait que j'été trop poule mouillé pour le faire mais...

SIXTINE - J'avais besoin de te voir.

Non, je ne me détacha pas de lui. Pitié pas pour l'instant, j'avais besoin de savourer encore un peu plus se moment dont j'avais tant envie. Nous étions à l'abri des papparazzis mais je redouter quand même quelque un d'entre eux très malin qui arriverais sans problème à pouvoir nous prendre en photos, je chassa cette idée de ma tête. Non, restons optimiste.

Je sentis d'un coup son coeur battre plus vite. Je fronça les sourcils, qu'es-ce qui se passer? Je me raidis. Et re-leva la tête vers lui. Les traits de son visage exprimer la panique et sa respiration accélérer. C'était à cause de moi? Ou? Une seconde je pensa à me détacher de lui, mais il me serrait si fort que je ne pouvait bouger. La panique m'envahi à mon tour, de peur que tout ce qui lui arrivait soit de ma faute.

SIXTINE - James? ... ça va? dis-je en chuchotant.

Il n'allait pas d'aller bien. Et ma question était absolument inutile.

JAMES - Sixtine, je dois t’avouer un truc …

Gosh. Je redoutais le pire comme le meilleur. Je me rappelais de se livre que j'avais lus où le garçon dont l'héroïne été amoureuse lui avait dis la même chose se " je dois t'avouer un truc... " le coeur de la fille c'été alors emballer car elle savait qu'il allait lui dire "je t'aime" mais grosse chute: le garçon avait terminé par avouer "j'aime machine et je voudrais que tu m'aide blahblah "

SIXTINE - Oui?

Je baissa la tête et ferma les paupières redoutant ce qu'il allait dire.

Il me regarda et fis un semblant de sourire qui me rassura tant bien que mal. Des gouttes de sueur dégoulinait de son front, je fronça encore plus les paupières. Mon regard était sans doute interrogative car la raison de cette situation m'échapper . J'avais de plus en plus peur. Je m'imaginer les pires scénarios de la fin de cette conversation et les meilleurs n'était que rare.

JAMES - Ca fait depuis longtemps que je voulais te le dire ...

Okey, sa ne m'avançais à rien certes mais bon, que peut-on dire à quelqu'un depuis longtemps? Je plissa les yeux, il faut dire que la panique cédait sa place à la peur, ouais j'avais peur, peur de se qu'il avait besoin de me dire. Ma respiration s'accèlera à mon tour et je lui fis un regard qui voulais dire : " Euuh... ouais?"

JAMES - Oh & puis Zut, je t’aime Sixtine !

Joie. Béatitude. Bien-être. Bonheur. Contentement. Jouissance. Ravissement. Néanmoins je me demander si il se moquer, peut-être bien que c'été un pari avec ses potes. Rhoo, mais pourquoi être autant pessimistes. Je me donna quand même le droit de rêver et de savourer les paroles qu'il venait de prononcer. Les larmes me montèrent aux yeux. Des larmes de joie peut-être, ouais.

SIXTINE - Je suis désolé James...

Son regard été horrifié, les traits de son visages s'aggravèrent pour lui je ne l'aimais pas en étant désolé. J'arrivais à me détacher de lui et me mis devant lui. Une larme coula le long de ma joue. J'attrapai sa main et au contact de celle-ci je frissonna. Je ferma les paupières pour les ré-ouvrir cinq secondes plus tard. Il ouvrit la bouche pour parler mais je repris.

SIXTINE - ... Il faudra te faire à l'idée que moi aussi.

Je souris et serra sa main, sa pourrait être sans doute les minutes les plus belles de toute ma vie et j'en profiterais au maximum. Au maximum, ouais.

SIXTINE - Je t'aime.

Ouais, j'été en effet LA fille la plus heureuse au monde. Personne ne pourrais jamais expliquer se que je pouvais ressentir à se moment là. Le sentiment de savoir que mes sentiment envers lui été réciproque. Oui, je l'aimais. Beaucoup même. Beaucoup trop. Je tenez énormément à lui et le seul sentiment de savoir que je pouvais le perdre un jour dans ma triste vie me fessait trembler. Le nombre de fois que j'avais rêver de se moment m'échapper tellement il était nombreux. God exist. En fin de compte tout pouvais se réaliser, ouais. Il se rapprocha et nous nous échangeâmes un baiser, magnifique, magique, ouais. J'étais heureuse. Ouais, très heureuse même. Le savoir près de moi et qu'il m'aimait. Il m'aimait, Sixtine, il t'aime. Je souris. Me faire à l'idée était assez difficile. Je me disais que je rêvais sûrement que là maintenant je me réveillerais en pleur parce que le rêve était trop beau pour être vrai. Réel.

JAMES - Ca va pas de me faire des peurs comme ça ?

Je rigola, c'est vrai qu'à sa place je serais aussi sous le choc, sa ne se fessait sûrement pas mais j'aimais faire crée cette sensation de panique puis de joie. * Sadique? Moi? * Je le serra fort dans mes petits bras. Il était à moi, maintenant. haha. Je posa ma tête sur son torse et attrapa sa main. Nos doigts s'entrelacèrent. Nous restâmes quelque minutes dans cette position à savourer tout le deux se moment, dont pour ma part je rêvais depuis assez longtemps.

Tout était parfait, tout était bon. Trop beau pour durer. Un papparazzi qui c'été faufilé par je-ne-sais-où nous scrutais par la fenêtre j'ignorais totalement depuis combien de temps il était à nous observer et la peur qu'il nous est pris en photo pendant que nous nous embrassions m'envahis. James n'avais sûrement pas envie que le monde entier où même que d'autre personne sache que j'était à présent avec lui. Vie privée? Ils connaissent? Ma respiration s'accéléra et James l'avais apparemment sentis, il baissa la tête vers moi le regard interrogative. Je lui montra de la tête la fenêtre et il vit à son tour le papparazzi l'appareil photo à la main. La panique cédait la place à la haine et la rage je me détacha de James et j'été sur le point de sortir du petit studio.

SIXTINE - Han! Il va m'entendre se papparazzi. Je reviens.

Je sortis de la pièce. Le papparazzi contemplais ses photos avait joie, tout simplement dégoutant. En grande discrétion je me dirigea vers la porte de sortie sans que personne n'est pus me remarquer, du moins je le croyais. Quatre grand et fort gars de la sécurité scrutais les alentours. J'interpella l'un deux il se dirigea vers moi avec un gros sourire au lèvre et me demander se qu'il se passer et je lui expliqua calmement qu'un paparazzi avait arrivé à rentrer dans le bâtiment. Le gars appela un collègue à lui et me suivis. Là se trouver le papparazzi à la même place au téléphone il rigolait bêtement et de sa voix aigüe il avait déclarer " oui, oui patron j'ai le scoop du siècle, vous n'y croirais jamais. " Il s'apprêtais à partir mais mes deux copains l'avait attrapés par le bras. Il me donnaient l'appareil et je me dirigea vers le studio où se trouvait James. Je rentra.

JAMES - Alors ?

Je ne répondis pas. J'alluma l'appareil et cliqua sur les photos prise. J'ouvris grand la bouche, j'y croyais pas. Dire que si je ne l'avais pas vus James et moi ferions la couverture de touts les magazines américain. Je lâcha un rire nerveux et continuer à découvrir les photos. Malin se papparazi, très malin, ouais.

SIXTINE - Han! J'y crois pas, dire qu'on ne c'est rendus compte de rien.

Tout y été, quand je lui avait presque-sauté dessus *o.o* quand on a échapper au autre paparazzis, notre baiser, bref tout, quoi. Je passa l'appareil à James qui à son tour vis les photos la mine horrifiée.

Il jeta l'appareil contre le mur avec une force impressionnante. Je ne pouvais sûrement pas niée que j'été un peu plus sereine. Je leva la tête vers lui et souris. Il été là et c'était le plus important, cette joie qu'on ressentant en savant qu'on aimer et qu'on était aimer en retour. Ouais, je l'aimais. Je l'aimais et je l'aime. Une idée parcourus mon esprit en pendant seulement quelque secondes, une idée complètement débile certes mais complètement affolante. Que tout cela sois une blague mais James n'était pas de se genre. Je me rapprocha un peu plus. Un silence se forma et bizarrement il ne me déplaisait que très peu. Je le rompus tout de même.

SIXTINE - Eh bien... Je dois dire que ta force est impressionnante.

Je rigola et plongea mon regard dans le sien. Je tourna le regard vivement et l'attrapa par la main. Je tourna la tête vers la porte pour ensuite re-re-regarder James et enfin déclarer.

SIXTINE - Tu voudrais pas qu'on sorte un peu, ou c'est trop risquée?

Je rigola, nous n'allons quand même pas rester dans cette petite pièce. 'Menfin je ne savais pas vraiment, les papparazzis nous suivez partout et à tout les coups nous allons être à la une des journaux avec une romance inventé * et vrai *.

Force impressionnante, flatteur (a) bah oui ca me flattait quand même. je regardais le débris de l'appareil assez fier de moi quand même, je frôla la pellicule qui était dans ma poche, je les ferais développer et ensuite, je ne sais pas ce que j'en ferais, je verrais sur le moment, bon, c'est vrai que cet endroit était un petit peu ... voilà x) je mit mes mains dans les poches & écouta Sixtine évoquer l'envie de quitter cet endroit, j'observai les lieux comme si je ne les avais observé, puis ouais, cet endroit était légèrement glauque, puis je me rapprocha un petit peu d'elle en lui disant ;

• Bah risqué ? un peu mais bon ... tu voudrais aller où ?

Oui, il ne fallait pas le cacher, c'était un peu risqué, des Paparazzis qui avaient vu Sixtine entrer dans le studio, puis après qu'ils ne voyaient plus, et un Paparazzis qui avait pris de jolies photos, ouais, peut être qu'ils nous attendaient à l'entrée du studio, leur appareils prêt à flasher. Ouais, c'était possible. Mais bon, que serait la vie sans le risque ? Puis de toutes façons, ils n'auraient pas de preuve sur notre couple, les photos étaient en sécurité dans ma poche, mais ce que je craignait, c'est que après que leur petit camarade leur aura dit quel scoop grandiose il aura trouvé, bah, il seront plus à l'affut du moinde petit scoop. Génial la vie de star, si si je vous la conseille --" Des fois, je vous laisserais volontier ma place.