2 novembre 1990 los angeles ; californie.

Le 2 novembre ? L’oubliez pas, c’est mon anniversaire. En effet, je pointai mon bout de nez vers les dix sept heures au California Medical Center, l’hôpital le plus proche de notre maison. L’accouchement ne fut pas long, pourtant je sut plus tard que mon frère n’avait pas du tout aimé entendre notre mère crié de douleur. D’un côté je le comprends, je n’aime pas du tout quand les gens souffre, encore moins quelqu’un qui m’est cher. Je fus alors choyé et la joie de ma famille, sauf mon frère. Etant encore bébé, je ne savais pas, plus tard je le compris.


17 juillet 1995 los angeles ; californie

Me voilà âgé de cinq ans. A cet âge là, tout le monde réfléchis et commence à observer le monde. Moi, ce que j’avais put voir à cet âge là c’était que mon frère ne m’aimait pas du tout. Là encore il venait de me regarder méchamment et était parti joué avec des copains au parc pas loin. C’était l’heure du gouté, il n’avait même pas voulut que je l’accompagne. Je l’aimais moi mon frère, c’était comme un un model mais je ne savais pas pourquoi il ne m’aimait pas. Montant sur une chaise, je m’accoudai à la table et attrapa à deux mains ma tartine au beurre de cacahuète. Ma mère me regardait avec un sourire aimant et je lui demandais :


Aiden – Mama’ , pouquoi luca i’ m’aime pas ?
Mme Carpenter – Ce n’est pas qu’il ne t’aime pas mon chéri, tu verras.. un jour vous vous entendrez plus que bien, j’en suis sûr.
Aiden – D’accord.


J’espérais à ce moment là que ma mère disait vrai, me souriant chaleureusement je mordis dans ma tartine à pleine dents.


18 août 1995 los angeles ; californie

Ce jour là, j’étais enfin parvenu à accompagné Luca au parc. J’étais heureux, même si je voyais bien, de mes un mètre dix, que mon frère lui n’était pas très content.


Luca - Ecoute moi petit monstre, tu as fait souffrir maman, et je vais te faire souffrir moi aussi !
Aiden - Quand, je l'ai fait souffrir ?
Luca - Bah, quand tu es née morveux !


Je ne comprenais pas, on s’était par la suite assis et allions commencer notre goûter quand d’autres enfants ont débarqués. Ils n’avaient pas l’air gentil, et ont même menacé Luca de me taper si il leurs donnait pas notre goûter. J’avais peur pour mon frère à ce moment là, je ne savais pas ce qu’il se passait dans sa tête également, allait-il s’en fouttre et les laissés me taper ou ne pas me laisser me faire taper ? Finalement, un des enfants donna un coup de pied à Luca et je criai. Je n’aimais pas la violence depuis mon plus jeune âge et le fait de crier les a fait heureusement partir. Luca et moi étions alors désormais tranquilles.


Luca - Aiden, oublie se que je t'ai dit Ok ? T'es pas un morveux, ni un petit monstre.
Aiden - Et je n'ai pas fait souffrir maman ?
Luca - Euh ... elle n'a pas souffert pour rien. Elle m'a offert un incroyable petit frère. Tu peux compter sur moi maintenant. On ne se quittera plus !


Depuis ce jour, mon frère a agit comme il l’avait dit : on ne s’est plus quitté, et c’était bien comme ça.


1999 las vegas ; nevada

Depuis ce temps là, on a assez grandis Luca et moi. A mes 6 ans on a déménagé pour partir à Las Vegas. Notre père avait été promu et à vrai dire cela ne m’a pas vraiment plut. Au fil des années j’ai apprit à faire de la guitare et beaucoup d’autres instruments, j’adore jouer la comédie mais surtout chanter avec mon frère qui lui aussi chante et fait de la guitare. On forme même un groupe.. à deux ^^. On ne se quitte plus et on est inséparable.


2009 las vegas ; nevada

Nous sommes tout deux à l’université en ce moment. J’ai fait également plusieurs rencontres et je n’arrive plus à regretter d’être à Las Vegas au lieu de Los Angeles. C’est peut être l’une des choses qui m’est arrivé le mieux dans ma vie. J’y ai rencontré beaucoup de gens uniques et super. Du genre : Sixtine : ma meilleure amie, Lexie : comme une confidente, les jumelles McCalister et principalement Baylee même si j’ose pas vraiment, elle a beaucoup de gars qui lui font la cour, alors pourquoi m’aimerait-elle moi ? Enfin bref ! J’adore ma vie à Las Vegas et l’échangerais pour rien au monde.