Dring. Cette fameuse sonnerie sonne enfin. Mon dieu, je n’ai jamais était aussi heureux, je m’empressai de sortir, je fus d’ailleurs le 1er. Il faut avouer que à peine le cours commencé j’avais déjà rangé mes affaires. Et dire que je suis obliger de suivre ce cour. & ce jusqu’à la fin de l’année. Bon voyons voir quel cours ensuite ? Maths ? Oh non. Je me dirigeai vers ma salle tout doucement. Ce professeur ne m’aimait vraiment pas. Il a une dent contre moi. Il pense que je me crois tout permis parce que je suis le fils de Lian Milton. N’importe quoi. Une fois devant la porte, je m’avançai pour rentrer mais le professeur montra sa montre & dit :

Je fis donc demi tour afin de quitter cette fameuse classe. En fait j’étais content d’être virer du cours. Parce que 2h avec lui. Ca aurait été la misère. Bon, il me reste donc 2h à rien faire. Ah si, je dois aller en permanence. Mais bon, tout le monde sait que je ne vais jamais en permanence. J’allais sûrement me balader dans les couloirs, échapper au surveillant, m’acheter une canette de coca-cola, écouter de la musique, enfin tout faire sauf y aller. Je passai dans le couloir où se trouvaient les toilettes des filles. Une jeune fille blonde aux cheveux bouclés en sortit très rapidement. Cette jeune fille n’était autres que Maddison Carter. Elle marchait tellement vite que je n’eus le temps de l’esquiver. Elle me rentra donc dedans & fit tomber son sac.

Alors la c’était la meilleure, elle me rentre dedans & c’est moi qui dois faire attention. Sa voix résonna dans tout le couloir, désert. Elle ramassa ses affaires. Moi je l’a regardait faire, si elle pensait que j’allais l’aidé, elle se tromper sur toute la ligne.

Elle releva enfin la tête, & vus que c’était moi. Elle fit de grands yeux. Et commença à s’énerver. Je sens que je vais bien m’amuser. En plus je n’ai absolument rien à faire. Elle se releva enfin. Et voulut répondre mais je l’en empêcha.

Je vus que cela l’avait énervé. Bon c’est vrai que je lui avais rentré dedans. Mais je m’ennuyé & comme je connais son caractère, je sais quel mot il faut dire pour bien l’énerver. Et j’avais juste envie de m’amuser un peu. Histoire de rigoler. Et je sais très bien qu’elle n’ai pas folle de moi. C’était juste pour l’embeter une fois de plus.

Oh, mais c’est qu’elle s’énerverait. Peut-être dis-je vrai alors. C’est bien connu qu’on répond à la vérité par l’agressivité. Et si elle réagis comme ça, c’est que j’ai raison. J’aurais du m’en douter. Peut-être a t’el fait exprès elle aussi de me rentrer dedans ? Qui sait ? Je la regardai dans le blanc des yeux. Sans bouger. Elle était énervé ça se voyait. Ses points se serrèrent. Elle souffla ensuite un bon coup, puis voulus partir. Elle fit quelques pas. Mais je l’arrêtai. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je n’avais pas envie qu’elle parte. Et je ne compris pas ce qui se passait en 1 fragment de seconde, j’eus envie de l’embrasser. Furieuse, elle releva aussitôt la tête afin de voir pourquoi j’avais fait ça. Je m’avançai de plus en plus vers elle. Jusqu’à ce qu’elle fut complètement coincé entre le mur & moi. Ma main frôla la sienne. Elle soupira ne comprennent pas ce que je faisais. Puis elle me dit :

Je l’énervai, mais elle ne fit rien pour se dégager de mon emprise. J’approchai ma tête de plus en plus. Au moment où on était presque collé, je rapprochai la tête de Maddison vers moi doucement avec le menton. Je rapprochai une dernière fois mon visage, tout en la fixant intensément. Elle soutient toujours le regard, fébrile malgré tout. Je caressa ensuite sa joue du bout de mes doigts, puis rapproche mes lèvres des siennes avant de le frôler… Une fois, deux fois, trois fois. Sans lâcher mon regard. Je posa enfin mes lèvres sur les siennes, puis je les détachai aussitôt, qu’avais-je fais ? A ce moment là, je ne sus contrôler mon corps qui mourrait d’envie de recommencer. Je me laissa aller, & posa une autre fois mes lèvres sur celles de Maddison légèrement tremblante. Elle prolongea le baiser, fermant les yeux, tandis que je les fermai à mon tour, l’attirant contre mon torse en la tenant délicatement par la taille.

Je me laissa aller, & posa une autre fois mes lèvres sur celles de Maddison légèrement tremblante. Elle prolongea le baiser, fermant les yeux, tandis que je les fermai à mon tour, l’attirant contre mon torse en la tenant délicatement par la taille. Elle se laissa faire, puis peu à peu, ses poings se desserrèrent. Elle passa ensuite sa main dans mes cheveux. Ma bouche à son contact me faisait perdre mes moyens. Je n’aurais pus m’arrêter, & plus je l’embrassai, plus j’avais envie de continuer. Je me mis à la caressé, sa peau était vraiment très douce. On aurait dit une peau de bébé. Ma main descendu au fur à mesure, jusqu’à en arrivé à sa chemise, je toucha son bouton & le défit. Je me rendis alors compte de ce que je faisais. Si hier on m’aurait dit ça, je ne l’aurais pas cru, ou alors j’aurais cru que ce serait elle qui m’aurait « sauté » dessus & non l’inverse. Mais, étrangement, je ne regrettais pas ce que je faisais. J’aimais l’embrasser, sentir son léger souffle prés de moi, sentir ses mains sur ma peau. J’aimais tout simplement ce moment. J’arrêtai de l’embrasser pendant quelques secondes, afin de la regarder, tout en continuant de déboutonner sa chemise. Elle me fit un petit sourire, ce qui prouvait, qu’elle n’était pas contre. Je sentis son cœur battre de plus en plus vite, & allant à la même allure que le mien. Arrivé au quatrième bouton, elle m’arrêta, me pris la main & me chuchota :

Nous avons eu le même reflex, baisser la tête. C’est alors que je vis nos doigts entrelacés. Je souris. Puis la releva. Je la regardai intensément. Et l’embrassa de nouveau. Notre baiser devins alors de plus en plus fougueux & passionné. Je défis le reste de sa chemise. Elle enleva ma veste, & passa ses mains froides sous mon tee-shirt & caressa mon torse. A son contact je frissonnai. Je déviai afin de l’embrasser dans le coup. Elle m’enleva enfin mon tee-shirt. Je descendis ma main le long de son corps. Arrivé à son jean, je le déboutonna & enleva la braguette. Je l’embrassai de nouveau. Ses baisers me faisaient perdre la tête. Je lui mordis sa lèvre de plaisir. A vrai dire, je ne détestais Maddison. D’une certaine façon, je l’aimais. Elle m’avait tout de suite attiré. Je m’approcha de son oreille & lui chuchota tendrement :

Je l’a vus sourire. A ce moment précis, j’oubliais tout, tout mes problèmes, mes soucies, mes amies, tout, il n’y avait qu’elle & moi.

Je ne me reconnaissais pas. Pas du tout même. Cette fille m’envoûtait. Je ne saurais comment faire pour expliquer. Elle était tellement belle. & elle avait surtout un charme irrésistible. Mais malgré ça, jamais je n’aurais sus prédire ça. En la bousculant, je pensais qu’une dispute de plus éclaterait, & pas que je lui sauterais dessus. Mais elle était encore plus jolie quand elle s’énervé & je ne pus résistai. Si quelqu’un arrivé, & nous voyait, soit ça aurait atterrit sur Face book, ou sur GossipReporter, ou encore aux oreilles du directeur. Dans tout les cas, on était cuit. Il ne fallait vraiment pas que quelqu’un arrive. Mais ici, tout le monde sait se faire très discret pour écouter une conversation. Donc, un jour au l’autre, cela se saura sus. Je passa ma main dans son dos, puis l’embrassa encore & encore. Puis je ne vais pas vous faire un dessin, nous passâmes à l’acte. Elle était doué, même très doué. Mais peut-être elle en a fait plus histoire de m’impressionner. Je ne pense pas avoir autant jouis de toute ma vie, je dois l’avouer. C’était vraiment extraordinaire. Une fois arrivé « au point G » & d’avoir jouis une dernière fois. Je déposai un léger baiser sur ses lèvres. Elle me sourit. J’avais vraiment passé un moment magique.

Elle m’avait impressionné, oui je l’avoue. Jamais je n’aurais crus qu’elle été aussi doué dans ce domaine. Et j’ai vraiment pris mon pied. Je ne bougeai pas d’un poil, toujours dans ses bras. Mes mains sur son corps brûlant. J’étais bien, je ne voulais pas bouger, à mon grand étonnement. J’avait aimé ce temps passé avec elle. Peut-être serais-ce la 1er & la dernière fois. Qui sait ? Je voulais profiter. Car nous revoir, se serait sur. Mais peut-être pas dans ses conditions. Ce qui est bien dommage. Elle avait embellit ma journée. Je sortis mon téléphone de la poche de mon jean. Je vus 7 messages. Je ne pris pas le temps de les lire. Je regardai l’heure. 11h07. J’avais passé plus d’une heure à ses côtés. Le temps était passé très vite. Heureusement, ce couloir n’était que très peu fréquentait. Sinon à 11h00, du monde serait passé & nous aurait vus. Je remis mon téléphone dans ma poche. Et c’est exactement à ce moment là que je ne sus quoi faire.

Je souris. Je ne savais vraiment pas ce qui m’arrivait. Ce n’était pas mon comportement habituel. D’habitude, je serais déjà partit, ou quoi. Mais là non, je restais là. Je ne voulais pas bouger. J’étais bien. Je ne savais pas ce qu’elle m’avait fait. Elle m’avait transporté. Et ça me choque sincèrement un peu. Elle remonta son jean, & pris sa chemise qu’elle serrait extrêmement fort. Je ne compris pas tout de suite. Je me r’habilla à mon tour. Et regarda a nouveau ses mains tenant toujours aussi fort sa chemise. Je la regarda alors perplexe. Elle finit par me dire :

Je fus complètement choqué. Jamais je n’aurais crus que ce que je disais était vrai. Et pourtant… Je ne sus quoi lui répondre. Es – ce pour elle « dingue » veut dire amoureuse ? Où pas ? Es-ce qu’elle rigolé ? Me faisait – elle une blague ? Es-ce que je ressentais la même chose ? Un tas de questions se posèrent dans ma tête. Le silence total régnait dans le couloir. J’étais plongé dans ses yeux. Je la regardai tout en réfléchissant. Que faire ? J’étais totalement perdu. Elle serra encore plus fort sa chemise. Comme si elle était en stresse. Je m’apretta à lui répondre. Quand des pas se firent entendre. Des pas lourds. Ceux du surveillant sûrement.

Je ramassai le reste de mes affaires. Je les pris par la main. Et commença à courir. Elle fit de même. Je couru le plus vite possible. Sans regarder où j’allais. Si il nous retrouvé, on allait avoir des ennuies, de gros ennuies !